L'union d'un Canard et d'un Lys

hugo a écrit:

Je bénis en ce jour ces alliances qui sont le symbole de votre union et de votre humour. .

Tristan qui ne manquait pas ce genre de saillie , sursauta . Ai-je bien oui ? L'anneau un symbole de l'humour ....

Tandis que les Vive les mariés résonnaient sous la vôute de pierre , Tristan cria

Vive le curé !
Vive les mariés !!!!...

Pivoine, je me tournais vers tous mes amis réunis, bien que certains manquaient à l'appel, faute d'obligations.
J'étais heureuse, comblée au possible.

Je croisais mes doigts à ceux de mon aimé et nous voilà avançant. Cette fois je n'avais pas peur de traverser la longue allée, la trouvant tout à coup nettement plus courte, mais surtout, j'étais avec celui qui me protégeait ainsi que notre enfant en mon sein. Mon voile retiré, je respirais un peu, laissant ma chevelure des plus flamboyante libre.

Je saluais enfin mes amis après les témoins et Hugo. La première qui croisa la route, forcément elle était au premier rang :

Ma Duchesse....merci pour tout, vraiment.

J'embrassais à nouveau sa fille Anna avant de récupérer mes propres enfants, reprenant Keiran dans les bras, éveillé par le bazar environnant que sa demi soeur avait fait. Un petit clin d'oeil à Mikaphile.

Merci à toi aussi. Ne t'en fait pas, je te le rend après.

Au passage, une petite bise à mes désormais belles filles. Non pas que j'aime pas le Whisky mais l'odeur me donnais des nausées. Je regardais un instant Elisabeth, que j'avais croisée au final plus que son père en taverne à Re'oz.
Avançant un peu, j'allais à la rencontre de Mae qui reçue une bise sur sa joue, saluant son cavalier.

Je suis contente que tu sois présente. Vous aussi Messire.

Un pas pour rejoindre le rang suivant. Il sentait bon la Savoie et je retrouvais avec joie ma Sili et mes autres amis. Que c'était dur de se retenir de leur sauter au cou ! Par convenance, je ne leur fit que de grande embrassades surtout que je n'avais pas vu Pisto, sa femme et Rasmo depuis belle lurette ! Mais où était Charlemagne et Pisenlit ?

Ma Siliiiiiiiiiiii ! Mon Pyg ! Valou ! Canela ! Iso ! Pistoooooo et Rasmo ! Cissy ! Merci à vous tous d'avoir bien voulus vous déplacer pour ce jour. Vous aussi Eddo. Puis à l'intention de Nash Tu vois que les Bretons sont pas mal dans le genre...

Et j'envoyais les jumelles qui avait bien grandie à la rencontre de leur marraine qui ne les avaient vu depuis des années. Grand sourire à Sili, je lui laissait le temps de redécouvrir mes petites merveilles.
Changement de rang pour aller embrasser tous les toulousains.

Prêt pour boire avec nous ? Hein Voda ? J'ai cru comprendre que tu avais amené tes amis pour cela ! Vous allez voir ce que vaux un Breton !

Petit rire avant de retrouver mes amis de la Guilde des Herboristes. J'attirais Flamel dans mes bras, du moins mon bras libre et lui soufflait un merci. Au tour de Garri, Eric, Albignac et sa compagne d'être couverts de bisouilles, mon bonheur grandissant à leur vue.

Je n'espérais pas tant !

Dernière ancienne toulousaine présente, ma Wendy que je n'avais vu depuis des années. Une bise sur sa joue ainsi que sur celle du petit Tristan.

Ton fils à bien grandi depuis la dernière fois ! Puis je murmurais plus bas Je suis mariée pour de bon ma belle.

Oui, elle savait que le mariage m'avait déjà échappé une fois.
Je croisais enfin la belle Eva, mon ancienne homologue porte parole guyennoise. Elle avait pu se déplacer et j'en était ravie.

Désolée que tu sois la seule Guyennoise, mais y'a des invitations qui se sont perdues en vol ! Merci d'être venue en tout cas.

Invitations perdues en vol...ou pas tout à fait rédiger aussi. C'est que la rousse avait eu du mal avec son poignet bien qu'habituée à rédiger courriers sur courriers mais faut dire que son canard n'avait pas aidé non plus. Flemmard que celui ci des fois.

Au tour du couple Franc-Comtois dont le mari était son ancien homologue à l'ambassade. Que de souvenirs, surtout de partage de boisson ! Petite pensée à l'intention de quelqu'un...Que je chasse aussitôt. Ce n'est pas le moment.

Tristan, je t'ai entendu toi et ta prière ! Je me retins d'éclater de rire et me tournais vers sa femme Vous devez être Anne ? Aussi belle qu'il me l'avait prédis. Je vous remercie d'être venue avec T.

Vient le tour de ce bout de famille où mon frère n'a pas pointé le bout de son nez. Quel roux crétin celui là.
J'embrasse ma nièce, celle qui était au plus proche de moi surtout en apparence, ma presque jumelle.
Vint le tour de Matt, ce neveu que je connaissais que trop bien, bâti à l'image de son père.
Ah voilà Gaed ! Mais que fait-elle entre eux ?

Merci d'avoir pris de ton temps Gaed pour venir ! J'espère que mon neveu ne t'a pas embêté ni touché ?

Et voilà le moment de remercier tous les bretons présent. Diantre j'avais déjà la gorge sèche, un verre de chouchou aurait été le bienvenu. Petit regard à mon désormais époux, une choppe dessiné dans celui. Il comprendrait.
J'embrassais alors Maira et Cassius, Meer et Ftn, mes frères d'arme et à qui je pourrais confier ma vie tant je leur faisait confiance. Un clin d'oeil complice à Ftn, il sait que ce que je veux dire et que je veux le mieux pour lui. Mon meilleur ami aussi y passe, surtout après le miracle qu'il à accompli. Bah oui ? Il m'a mené avec brio à l'autel sans que je tombe, encaissant mes griffes et mon poids.

Avec un petit peu plus de retenue je bisouille Madeline et Nagi dont on a pu remarqué l'entrée. Une autre à Miss qui à bien voulue venir ainsi que son nouveau compagnon que j'avais pu baptiser. Karuna avait pu passer, heureusement.
Et vraiment tout au fond je retrouve Pum', encore essouflée. Je sourit malicieusement, mais sa présence me fait tout de même plaisir. Mais où est Ririck ? Outre le Grand Duc, celui là subira également la rousse boudeuse un temps.
Enfin, je fis la bise à Pelotine, présente ainsi que Heine et Izea. Ceci dit il ne put échapper à mon regard foudroyant de rousse enflammée.

Merci à tous d'être venu !

Essoufflée, fatiguée, encore sous le choc de l'évènement, la tête qui me tournait un peu, je me reposais contre mon époux deux minutes. Main sur le ventre, je lève la tête et le regarde avec amour, heureuse.

Regard désemparé sur l'alcoolisée frangine, que la bouteille a lobotomisée. La bouteille ou Vossler. Qu'il soit maudit - pardon Seigneur ; il mérite mille tourments. C'est comme si le crâne de sa soeur s'emmitouflait déjà sous la chape de plomb qui pèserait bientôt, lourde, douloureuse peut-être mais si aimablement étouffante. On combat le chagrin avec les armes qu'on trouve.

Mais c'est bien connu : on ne peut jamais broyer du noir tranquillement. La toute fraîche belle-mère approche, arrachant Else à ses pensées inquiètes, pour embrasser brièvement les jumelles. Dans ses bras un bébé – le sien sans doute, mais de quel père ? C'est le genre de question que Lise ne pose pas. Par délicatesse, peut-être, et surtout parce qu'elle ne veut pas le savoir ; sa parenté l'a rendue allergique aux problèmes de généalogie. Ses doigts effleurent la joue rose du bambin.
Regards qui se croisent. Si j'avais su, quand je t'ai rencontrée – quelle mère es-tu ? – qui, et qui est mon père ? Toutes choses qui ne se disent pas. On évite de balancer ça à belle-maman le jour des noces. Quand même. A la place, elle murmure, voix trop basse pour trahir quelle raison a poussé ces paroles hors de ses lèvres :

- Bonne chance.

Puis elle se détourne pour glisser le bras autour de la taille de Marie. Protection contre les autres et les forces de la pesanteur, sinon contre le noir qui la ronge. Non, il ne faut pas partir... mais elle commence à avoir sacrément mal à la tête, et le gai remue-ménage dans son dos lui pèse. Principe des vases communicants : si l'une boit, l'autre... trinque aussi.

la cérémonie terminée ftn s'avança vers le couple, il ne voulait pas les encombrer son interventions fut des plus courtes

mes félicitations vous deux et n'oubliez pas d'être heureux surtout

et de déposer un baiser sur la main de la jeune mariée

Garri serra la mariée dans ses bras lui souhaitant le plus grand des bonheurs du monde. Elle était radieuse, l'angoisse de la cérémonie s'était évanouie et elle vivait à présent l'intensité pleine et entière de son nouveau bonheur .

Sois heureuse ma belle !

Elle caressa doucement la joue du bambin et laissa son amie et consoeur poursuivre ses embrassades. Elle prit la main d'Eric et la serra tendrement...à quand leur tour ?

Flamel qui avait suivi la cérémonie en compagnie de Maitre Eric et Maitre Garriguette
était a leur cotés quand ils félicitèrent les jeunes mariés... arrivait son tour
il regarda Aalys belle dans sa robe , lui sourit et un peu embêter car pas habitué a ce genre de situation...
" Félicitations Aalys que votre bonheur soit le plus long possible ,et que la joie et la sérénité sois présentent chaque jours a vos cotés.... "

il s adressa au jeune mariéqu il ne connaissait
" Prenez bien soin d elle Messire , et que votre Amour vous donne la force de la protéger comme le plus merveilleux des trésors"

il lui serra la main ,et rejoignit ses deux Compagnons Herboriste.

La jeune blonde souria. C'était l'heure du "tour de piste". A son mariage c'est Cassius qui l'avait entrainer là c'était Aalys qui entrainait Sharlnak ce qui était quelque peu amusant. Elle rendit tout naturellement sa bise a la jeune rousse avant de lui glisser quelques mot a l'oreille.

Pour ce soir veille a confier les petits ils risquent de ne pas pouvoir dormir !

Clin d'oeil entendu il faudrait être idiot pour ne pas comprendre le sous entendu. Puis elle déposa un tendre baiser sur le front du canard.

Félicitation mon ami, je te souhaite énormément de bonheur !

Tandis qu'elle posait sa tête sur son épaule, il sentit également quelque chose sur sa cuisse.
Il baissa la tête et reconnut la timbale qu'il lui avait offerte pour rigoler, un de ces souvenirs touristiques d'un goût douteux mais qui l'avait amusé.
Comment un objet, aussi banal et franchement laid pouvait rendre aussi heureux ?

Tout simplement parce qu'au fond de cette tasse, dans laquelle il n'y avait pas de marc, il pouvait lire le passé et la passion qui y était contenue.

Elle ne l'avait pas jetée !
Toutes ces semaines de déchirement, elle l'avait avec elle, rien n'aurait pu le rendre plus heureux.

Il serra fort sa main et en se logeant dans sa chevelure, il lui murmura :

- Faut pas faire mentir les proverbes, "A Quintin, on y revient" qu'il y a marqué sur cette timbale. Vous êtes donc obligée de retourner voir leur fameuse foire aux bestiaux un jour ou l'autre en ma compagnie.....excellente nouvelle non ?

L'heure était maintenant aux félicitations aux mariés, ils s'approchèrent de l'autel.

Vous êtes en retard...

La brunette galopait aussi vite que sa monture le pouvait. Il faut dire qu'elle avait légèrement compris à l'envers le parchemin qui devait la guider jusqu'à la cathédrale. Au lieu de se retrouver dans le coin, elle avait terminé au beau milieu des champs. Il y avait plus de vaches que d'habitants, c'était donc suivi par sa fidèle Tak une bretonne de naissance qu'elle retourna à la cathédrale. Il faut dire que le paysan croisé sur le chemin avait été plus efficace que son écuyère sur le coup.

Vous êtes très en retard...

C'est d'ailleurs les cheveux légèrement tout feu tout flamme, que la Montbazon debarqua dans la ville. Trop de monde et pas assez d'indications. Regard vers son bras droit, qui visiblement ne se souvenait pas vraiment du chemin. Elle leva les yeux au ciel et se dirigea vers...le bruit des cloches.

Vous êtes franchement à la bourre...

Une arrivée aussi majestueuse que possible, une brunette qui traverse la distance avec sa folle de rousse à ses côtés. Les mariés n'étaient plus loin...et là c'est le drame la Montbazon ne peut s'approcher davantage pour les feliciter chaudement.

Zut.

Elle se mit donc à applaudir bien sagement, reprennant son souffle.

Sa main qui serrait la sienne... Elle frissonnait.
Son souffle sur son front...

Une île ! Qu'on les transporte à Molène où elle pourra vivre ainsi éternellement, sa main dans la sienne et son souffle qui la caresse dans un flot de paroles chuchotées.
Ô douceur exquise d'un monde où il n'existe aucune autre préoccupation qu'un bonheur à deux...

Et tandis qu'un canard était officiellement uni à une fleur pour le meilleur du meilleur, un Zig et sa Zag étaient à l'unisson sur des souvenirs communs, inoubliables, inimitables.

- Quintin ? Je veux bien. Avec vous, je veux bien.

D'ailleurs, lui proposerait-il un séjour en enfer qu'elle dirait oui, du moment qu'ils y aillent ensemble, main dans la main et éventail dans la poche, car on doit quand même crever de chaud là-bas mine de rien.
Quintin et son étrange fête... Elle sourit, se souvenant, détail étrange, d'une veste posée sur ses épaules sur un bateau qui les menait à cette ville de fous.

Et tandis que les conviés s'avançaient progressivement vers l'autel pour féliciter les jeunes épousés, Madeline alignait ses souvenirs faits de tout petits riens qui étaient pourtant les plus beaux de sa vie, ceux qu'on garde précieusement, ceux qui ne se partagent qu'à deux.
Quintin faisait partie de leur patrimoine amoureux commun et cela faisait de cette bourgade la plus belle ville du monde.
Pourquoi rêver de Venise quand on a Quintin... A Venise, il n'y a que deux fous parmi les amoureux. A Quintin, il n'y avait que des fous autour de deux amoureux, et ça... c'est précieux...c 'est... Quintin !

- Allons les féliciter et ne leur parlons surtout pas de Quintin... Elle est à nous Quintin...

Elle les félicita, leur parla de Venise, puis en sortant de l'église, sa main étrangement baguée dans celle de Nagirrok, elle était tout simplement heureuse.

Le colosse se dirigea vers l'autel et entant que témoin, prit la plume signa et apposa son sceau....:





voilà qui était fait....

Enfin ils touchèrent terre et c'est avec une élégance toute particulière que Souzix arriva dans le lieu sacré et acclama les mariés faisant style d'être là depuis le début....

Faut dire que vivre sur l'eau a des inconvénients.

La mariée était venue jusqu'à eux pour leur faire la bise et Zaza resta ébahie, la mariée était vraiment resplendissante !

Lorsqu'elle leur annonça le buffet, c'est avec enthousiasme qu'elle lui répondit

Comment pourrions nous manquer cela ! avec plaisir nous allons nos verres jusqu'à ne plus pouvoir en l'honneur de votre amour ! Félicitations chère Aalys !