Anoblissement d'une rouquine / Ennoblement of a redhead

[Planqués dans les dunes, sa main sur les siennes (de dunes, pas de mains !) ]

- aller à Nantes ??? Mais ma bourse est vide, vous le savez bien....

Attrape le sac de cuir dans ses affaires et le secoue devant elle.

- non, je parlais de celle-là ! Elle est vide aussi....et puis j'ai juré de ne partir d'Italie qu'en bateau.
Bon c'est vrai que j'ai aussi juré d'arrêter de jurer à tout bout de champ d'accord. Jurer, genre bonne résolutions hein, pas jurer style "nom d'une catin enfournée par un âne", parce que ça, je garde !

Nantes....pfffff.....comme si on avait que ça à faire d'aller chez les canaris, j'te jure.....enfin pas "j'te jure"....bref...

- Lallie va se voir confier un Duché. J'aimerais qu'on parte ce soir pour Nantes afin d'être présents.Parce que moi, j'aime bien répondre aux invitations, pas vous ?

- La Renarde anoblie ?
Voilà bien une plus que sacrée nouvelle. Tout va de travers dans ce Duché ma parole !!!
Déjà qu'anoblir Nagirrok c'était assez dingue mais là....

Il regarde la mer sans vagues, puis son regard se porte sur la croupe nue et frétillante de Madeline qui s'agite dressée vers les cieux tandis qu'elle farfouille dans ses affaires.

mmmmmm.....appétissant......

- mais avant de partir, on a toujours ces foutus jumeaux à fabriquer ma Zag....c'est qu'on aura besoin de matelots à l'avenir...

Tandis que Mad, toujours agenouillée, farfouille dans son sac, le Corsaire vient se positionner derrière elle, agrippant cette croupe qui l'obsède. Revitalisé comme jamais - c'est qu'il les veut ses jumeaux - il empoigne son sabre pour un nouvel abordage.
Lui, face à la mer, elle face contre terre, il touche le ciel les braies baissées, fourrageant comme un beau diable pour lui offrir un nouveau rêve.

[Massa, duché de Modène. L'amour à la plage.]


Apparemment, il est certaines invitations auxquelles Nagirrok ne résiste pas. Charnue, bombée et légèrement frémissante, celle que lui présentait Madeline ne le laissa pas de marbre mais déclencha plutôt un empressement à prendre possession des lieux qui, bien entendu, savaient accueillir son hôte et même le retenir...
Et tandis que le roulis des vagues inspirait au Zig un rythme tantôt doux, tantôt saccadé, la Zag déversait une fontaine sans fin à chaque crescendo de cette histoire d'Ô. Les yeux fermés, elle savourait l'instant, vocalisant dans une langue étrange quelques syllabes incompréhensibles qu'elle ne retenait pas. Qui, dans ces dunes aurait pu être gêné par ce chant de l'extase ? A part un cheval au galop ou quelques oiseaux de mer occupés à pêcher ?
L'ivresse les submerge et si elle ne le voit pas, elle devine aisément ce sentiment de puissance qui doit l'envahir, cette sensation de liberté totale qu'il tente de prolonger pour leur plaisir commun et qui finit par lui échapper en même temps qu'un flot de laitance, là, face à la mer, dans un cri primal, les mains crispées sur ses hanches.

Qu'il est bon parfois de prendre le temps de regarder la mer...
Qu'il est bon de l'admirer à deux...
Qu'il est bon de s'aimer dans tous les sens du terme...

- Des jumeaux vous dites ? J'ai presque envie de parier sur des quadruplets, moi...

Une pince coincée entre ses lèvres, la Madgnifique se bat pour refaire son chignon tout en bouffant des yeux l'entrejambe de son zig, éternelle romantique qu'elle est.

Elle se penche vers lui et dépose un chaste baiser sur ses lèvres et lui murmure :

- En attendant, il se fait tard mon cœur et Nantes nous appelle pour célébrer une couronne qui viendra orner une tête rousse. Alors... à moins que vos bourses ne se soient déjà re-remplies - auquel cas je me ferai un devoir en tant qu'épouse de vous les vider - nous utiliserons mon cochon rose pour financer cette escapade au pays des canaris.

Elle glisse son museau dans son cou et s'enivre de son odeur de brioche.

- Allez en selle... Avant qu'une idée pas très aristotélicienne ne nous traverse l'esprit...

Et c'est ainsi que les Kerouac prirent le chemin, le long chemin qui ramène en Bretagne, non sans faire plusieurs haltes dans quelques auberges où ma foi... les paillasses n'étaient pas très solides parfois.

Le parchemin en main il arrivait sur Nantes, cette ville il la connaissait, ce château également...

L'année précédente, sous le règne de Myrlin , il était venu faire offrande à celui-ci d'un cadeau particulier, la rotule gauche du seigneur Tatoo, qui l'avait lâchement agressé sur saint Pol, alors qu'il se rendait à Tréguier...

La ville avait peu changée, les chalands cabotaient toujours en Loire, les marchands déployaient leurs étales le long des quais...Nantes l'éternelle !

Après avoir passé la porte d'entrée, sans dommage, mais toujours avec le même air moqueur du garde, qui avait relevé une nouvelle fois mon allure par un " z'avez encore oublié vos chausses", je pénétrai dans la salle du trône cherchant des yeux les connaissances, cherchant surtout ma belle qui était partie une journée plus tôt



Révérence à son Altesse Awena

Salutation à l'archidruide qui semble songeuse...

Salutation au chancelier qui lui aussi semble ailleurs...

Salutation à ma congénère qui bien qu'entourée semble tout aussi perturbée...



Hochement de tête aux autres convives occupés en discutions...



Mon regard cherche une silhouette...mordiou..., pourvu qu'il ne lui soit rien arrivée !

Sourire enfin affiché, là près de la fenêtre, ce dos..., elle est là..., ce dos...,
nouveau sourire plus prononcé malgré sa nouvelle coiffure, je le reconnaitrai entre mille...

Je m'approche doucement, passe mes bras autour de sa taille et croise mes mains sur ce ventre...



D'mat kalonoug...!



Dépose un baiser dans ce cou offert et lui susure



Jamais plus tu pars sans moi, je me suis fait un sang d'encre !



L'étreint un peu plus fort

Gael avait accompagné Thais. Il n'avais pas été convié... Tant pis, il était venu quand même. Ici presque plus personne ne se souvenais du jeune homme qu'il était autrefois. Il avait quitté Gwened il y'avais longtemps. Se retrouver ici avait quelque chose d'étrange. Ici il connaissait tout les visages ou presque. Il avait cotoyé chacun d'eux. N'empeche sa blonde avait pas vu l'invitation. Gael connaissait assez bien Lallie pour savoir qu'elle l'avais accueilli la nouvelle chaudement. Presque de quoi réveiller le petit volcan qui est en elle, qui dors pas souvent soit dis en passant. Il se faisait dicret parmis cette foule gardant sa main dans celle de son ange.

Tiens Tadeus est la? Il sourit en remarquant Oban. Si Oban etait la pour sur la Zabounette devait pas être bien loin. Il sourit. Hum ce sera mon premier annoblissement en Breizh pensa-t-il. En Armagnac il avais assisté a un déjà.

Bientôt il saurait si Lallie prend mal leur venue. Ou si au contraire elle les pardonnes. Lui de toute façon n'y était pour pas grand chose. Ne faisant pas encore tout a fait partie de la famille il n'avais pas pu être invité. Et puis connaissant Arthur rien d'étonnant a ce que l'invitation soit rester la ou elle avait été posée. Tiens en parlant de lui il est ou? Ce serait bien étonnant de le voir ici. Il semble très prit. Mais bon on ne sais jamais.

Gael laissait ses pensées dériver. Songeant a son passé, et son présent en même temps.

La salle du trône se remplissait peu à peu de ses amis, de sa famille, d'autres qui bien que simples connaissances n'en étaient pas moins estimées. Une petite silhouette rousse se fraya un passage parmi la foule, pas plus haute que trois pommes, l'oeil vif et l'air malicieux, sa propre fille apprêtée comme il se devait pour ce genre d'évènement lui faisait honneur. C'est un œil maternel et protecteur, celui d'une renarde qui surveille son petit afin qu'il ne s'éloigne pas trop du nid, qui se posa sur l'enfant.

- Demat ma fille, laissez-moi vous présenter son Altesse la princesse Awena, héraut d'arme. Se faisant elle désigna ladite princesse avant de poser une main sur l'épaule de sa progéniture. Son regard quelque peu détourné par l'arrivée de sa chair et de son sang, circula à nouveau dans la pièce à la recherche de celui qu'elle espérait secrètement voir apparaitre.

Elle ne mit certes pas bien longtemps avant de le localiser et eut bien du mal à se retenir pour ne pas fondre littéralement sur lui. L'envie était pourtant présente et elle regrettait tout ce qui avait bien pu se passer la veille. Ô comme elle aurait voulu le lui dire là, maintenant, mais l'instant n'était guère opportun. n'y tenant plus cependant, elle choisi un prétexte pour s'esquiver.

- Votre Altesse je vais vous faire faux bond, ainsi qu'à ma chère fille, il me semble que le serviteur là-bas n'a pas replie l'un des fûts comme je le lui avait demandé. Le petit personnel n'est plus ce qu'il était.

Légèrement révérence et elle se faufila parmi les invités, saluant tour à tour ceux qu'elle n'avait pas eut le loisir de parler encore. Lui, il s'était mit à l'écart dans un coin, espérant ne pas être vu, sans savoir qu'en réalité on ne voyait que lui. Son visage avait bien du mal à cacher son émoi à ce moment précis, la joie de le savoir ici pour elle en dépit de leurs mots de la veille. Avisant une des tables qu'on avait fait dresser pour l'occasion, elle versa dans deux coupes d'étain, un hypocras frais, doux et sucré qu'elle appréciait particulièrement. Une fois que les coupes furent remplies, elle se dirigea vers lui et alors qu'elle se trouvait à son niveau lui tendit l'une des coupes dans un sourire penaud.

- J'avais peur que tu ne viennes pas... Souffla-t-elle a demi-mot. Son tambours battait à tour rompre, menaçant d'exploser dans sa poitrine, son corsage lui parut soudain bien trop serré mais vitale pour maintenir son cœur à l'intérieur de son corps.

[Une plage méditerranéenne, deux amants épuisés, 3 petites notes de musique...]

Le soleil était maintenant haut dans le ciel, la chaleur accablante.
Mais même à son zénith il était bien pâle à côté de la Madgnifique Zag qui rayonnait comme jamais après leurs furieux ébats dans les dunes. Plus leurs étreintes étaient échevelées, plus elle était radieuse. Autant dire qu'après ces dunesques galipettes ce fut une Madeline de Kerouac plus fraiboisée que jamais qui vint susurrer à l'oreille du Corsaire qu'il était temps de redescendre du septième ciel.

- En attendant, il se fait tard mon cœur et Nantes nous appelle pour célébrer une couronne qui viendra orner une tête rousse.

Elle avait raison sa jeune mariée ! Il leur fallait au plus vite rejoindre la cérémonie durant laquelle Lallie entrerait dans cette si belle famille qu'est la noblesse bretonne.

Un navire les attendait à Massa qui les emporta bientôt loin de cette divine Italie qui les envoûtait tant. Quand le navire fit escale à Toulon, ils débarquèrent et louèrent un carosse équipé de quatre robustes chevaux. De là une longue route qu'ils connaissaient maintenant par coeur se déroula devant eux comme une langue râpeuse et interminable.
Calée sur la banquette du carosse, Madeline, alanguie et brûlante, vérifia encore une fois que la langue de Nagirrok n'avait, elle, rien de râpeuse et qu'il la maniait inlassablement entre les cuisses de sa Zag comme un assoiffé se plonge dans une fontaine divine.
La marquise et le baron en jeunes mariés qu'ils étaient ne comptaient plus les kilomètres, mais s'effeuillaient comme deux marguerites par force 10 et rejouaient inlassablement leur nuit de noces, totalement insensibles aux paysages qui défilaient.
Passant la tête par la fenêtre pour reprendre un peu d'air entre deux assauts de sa belle, Nagirrok hurla soudain :

- La Loire, c'est la Loire !!!! Je sens l'air Breton, j'en ai plein les narines !!! Rhabillez-vous Madeline, on arrive bientôt !

A quoi reconnaissait-il la Loire ? Peu importe mais bientôt le château de Madeline pointa ses tourelles à l'horizon et ils pénétrèrent dans le domaine de la marquise de Blain, harassés d'un voyage torride et les sens en fusion.

Le personnel de Blain était constitué des meilleurs serviteurs de Bretagne, triés sur le volet par Madeline qui leur faisait passer des tests redoutés par tous les gens de maison. Etre recruté par la marquise de Blain était une marque de fierté et ils mettaient un point d'honneur à ne pas la décevoir. Etre remarquable et irréprochable était chez ces gens le but de chacune de leurs journées.
Nagirrok qui bien que baron n'avait d'autre serviteur que lui-même, observa admiratif les deux servantes qui avaient été choisies pour leur préparer un bain plus que bienvenu. Elles s'affairaient en silence et quittèrent bientôt la pièce.

La Zag fit alors glisser sa robe à ses pieds et se glissa dans le bain tiède telle une Cléopâtre armoricaine. Nagi en balançant ses vêtements à travers la pièce soupira encore une fois sur cette chute de reins madelinesque qui le rendait fou. La rejoignant bientôt il souffla sur la mousse en riant puis prit soudain un air sérieux.

- hypothèse......je suis un jeune serviteur qui vient vous demander de l'employer en votre domaine....décrivez-moi un peu quel entretien d'embauche vous me feriez passer....

Le diplo-curé n'eut pas le temps de répondre qu'une future Duchesse fondit sur lui plus vite qu'un faucon ne le ferait sur sa proie. Evitant de regarder dans sa direction, il ne la vit pas venir. Mais sans pouvoir expliquer ce phénomène, il la sentit malgré tout s'approcher. Sans doute ce lien immatériel qui les unissait... Elle avait sans doute ressenti sa présence tout comme lui venait de ressentir son approche.

Lorsqu'elle ne planta devant lui, il releva timidement la tête, posant son regard sur elle, un sourire tout aussi penaud que le sien sur les lèvres. Il prit maladroitement la coupe qu'elle lui tendait, sans éviter que ses doigts ne touchent les siens au passage, doux contact électrisant, le premier depuis leur terrible dispute.

Tremblant légèrement, il évita de porter de suite la coupe à ses lèvres, évitant aini d'en renverser. Il continua à la regarder avant de simplement répondre:

- Je n'aurais manqué cela pour rien au monde...

Inutile d'en dire plus. La communication à cet instant, empruntait d'autres voies que celle de la parole. Leurs yeux, leur corps tout entier en disait beaucoup plus que les mots ne le feraient jamais et eux seuls pouvaient décoder ce que cela signifiait réellement.

La petite renarde sentit que sa mère était fière d'elle et la joie l'inondait. Une main sur l'épaule le symbole de l'amour filial, les yeux pétillant de bonheur elle se laissa présenter à la nouvelle arrivante. Il lui semblait bien l'avoir déjà vu lors de sa demande de blason. Mais elle en avait un peu contre elle, cette femme qui n'avait pas voulu lui donner son blason avec trois hermines...et puis elle pouvait pas non plus porter les couleurs de sa môman ! Mais bon on lui avait appris la politesse.

Bonjour votre Altesse, dit-elle en s'inclinant, après tout et pas de Demat, après tout elle arrivait du royaume de France et il allait bien falloir que tout le monde s'habitue à ce qu'elle n'en faisait qu'à sa tête.

Mais les yeux inquisiteurs de sa môman autour d'eux en révélait bien plus sur sa réelle motivation à leur parler et la fallacieuse excuse qu'elle sortit fut un coup de poignard. Depuis le temps qu'elle aurait voulu que son pôpa lui parle et voila qu'encore elle allait se faire laisser en plan au beau milieu d'une foule dont elle ne connaissait personne.

Tirage de langue mental contre la madre et se tourna donc vers l'altesse...

Brav eo an amzer hiziv

Per la prima volta nella sua vita Mijke si trovava a viaggiare così lontano, in un altro Regno. Non aveva creduto alle parole di Gurwan, quando le aveva chiesto di accompagnarla alla cerimonia d’investitura di una sua conoscente. Lui le parlava di "crema" e lei non comprendeva molto a cosa si riferisse.

“Ma no, di sicuro, come al suo solito starà scherzando!

Questo simpatico marinaio mi porterà a una di quelle feste del paese cui partecipano i popolani.

Magari mi porta a una gara di torte..perché’ no?”

Mijke era ancora sulla barca quando pensava ciò ma nonostante tutto decise di curare il suo aspetto nei minimi particolari, sino a scegliere l’abito più elegante che aveva per non sfigurare a una probabile cerimonia d’investitura nobiliare.

In ghingheri, a suo modo, ella raggiunse il messere e con egli si diresse verso “il castello”.

Giunti alle porte del palazzo Mijke si ricredette. Di fronte a lei vi era un vero castello e lungo il perimetro s’innalzavano due grosse torri. La fortezza era maestosa.

La damigella seguì il marinaio che, sicuro di se’ come lei non lo aveva mai visto, con discrezione si addentrava nel palazzo sino a raggiungere la sala in cui si sarebbe svolta la cerimonia.

Con lo sguardo perso nella sontuosità della sala, Mijke emozionata camminava dietro Gurwan. La sala era gremita di gente, per lo più di nobili che lei non aveva neanche mai visto di sfuggita, o di cui lei non aveva mai sentito parlare. E quanti ve ne erano! Prendevano posto l’uno dopo l’altro.

L’investitura intanto era iniziata ed un silenzio cerimoniale era calato nella sala.

“pssss psshshsss…Gurwan ma come fai a essere a tuo agio sia tra i palazzi della nobiltà sia tra i porti colmi di mozzi maleodoranti? Sei davvero una persona curiosa!

Mijke per sussurrare senza passare nell’occhio, si copriva il volto con un ventaglio e dietro ad esso ridacchiava delle divertenti risposte del compagno.

Ad un certo punto Gurwan con la mano indico’ la festeggiata, il re e gli altri protagonisti dell’investitura. Mijke gli diede un forte pizzicotto per riprendere il gesto inappropriato e non consono alla situazione….



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Pour la premiere fois dans sa vie, Mijke se trouvait voyager si loin, dans un autre Royaume, Elle n’avait pas cru aux paroles de Gurwan, quand il lui avait demande’ d’aller avec lui a’ l’anoblissement de une de ses connaissances..

Il lui parlait de la “creme” mais elle ne comprenait vraiment pas trop de quoi il parlait.

"Mais no, certainement ça sera une de ses blagues, comme d'hab.

Ce marin tres sympa m'ammenera a' une fete de ville, ou' il y aura que de gens du peuple.

Peut etre qu'on ira a' une competition de gateau, pourquoi pas?"

Mijke etait encore dans le bateau quand elle pensait çA, mais, malgre' tout elle choisi de prendre soin de son apparence dans les moindres details, jusqu'a choisir de s'abbillie' de la façon plus elegant possible pour etre presentable a' une probable anoblissement.

Tres bien abbille', de sa maniere, et attaint le marin, les 2 se dirigeait vers le "chateau".

Une fois aux portes du chateau Mijke change' d'avis, Avant elle, il y avais un vrai chateau avec deux grandes tours tout au long du perimetre, La fortesse etait majestueux.

La petite dame suivi' le marin qui, sur de lui-même comment elle ne l'avait jamais vu, il penetra dans le palais pour arriver jusqu'a la salle ou' se déroulait la cérémonie.

Avec le regard perdu dans la somptuosite’ de la salle , Mijke pas trop a' l'aise marchait derriere Gurwan, LA salle etait bondee de nobles dont elle n'avait jamais entedu parler ni dont elle n'avait pas hazard entravu dans sa vie. Et combien il en y avait!ils prennent place l'un apres l'autre…

La cerimonie commencait et dans la salle il y avait un silence tres respecteuex.

"Pssss psshshsss Gurwan ... mais comment t’arrives être à l'aise soit entre la noblesse soit dans le ports pleins de hubs maleodorant? T’es vraiment curieux toi!

Mijke pour chuchoter sans se faire remarquer, se couvrait le visage avec un “ventaglio” et derriere l’object elle riait aux reponses amusantes du copain.

A’ un certain moment Gurwan indique’ avec le doigt la dame fete’, le roi et les autre protagonistes de l’anoblissement. Mijke lui donna un fort pince’ pour le geste inapproprié et non conforme à la situation…

Très jolie, la jeune italienne qui avait trouvé marrante l'idée de l'accompagner. Elle s'était mise sur son 31 et sa robe mettait joliment en valeur ses formes. C'était la première fois qu'il la voyait ainsi et il semblait la découvrir. Il avait également senti son trouble lorsqu'ils étaient arrivés en vue du château, comme si elle réalisait enfin l'endroit où ils se rendaient. Peut-être qu'elle n'avais pas compris le mot "château", allez savoir !

psshpshhpshh. Les italiens, ça parle tout le temps, et Mijke n'échappait pas à la règle. "C'est qui elle ? c'est qui lui ? c'est quoi ces blasons ? et tu connais qui toi là dedans ?". Heureusement, elle avait croisé Madeline et Nagirrok à XXvenglia, au moins elle ne lui demandait pas qui ils sont !
Tiens, là, c'est Lallie, c'est elle qui va être anoblie. lui chuchote-t-il, tout en montrant la rousse du doigt. A peine ce geste esquiscé qu'elle le pince violemment. Ben merde alors. Se faire apprendre les bonnes manières par une italienne...il ronchonne quelque peu. Puis, se reprenant, il lui chuchote à l'oreille :"merci de m'avoir accompagné Mijke."

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Molto bello, il giovane italiano che aveva trovato l'idea divertente con lui.Aveva messo il suo 31 e messo il suo vestito splendidamente migliorare le sue forme. Era la prima volta che la vide così e lui sembrava di scoprirla.Egli ha anche sentito le sue condizioni quando sono arrivati ​​al castello, come se avesse finalmente capito dove stavano andando. Forse non ha capito la parola "castello", figura go!

psshpshhpshh. Gli italiani, lo fa tutti i discorsi, e Mijke non sfuggì alla regola. "Chi è? E '? Qual è lo stemma? E a sapere che hai lì dentro?". Per fortuna, lei si era incontrato con Madeline e Nagirrok XXvenglia, almeno leinon ha chiesto chi sono!
Qui, c'è Lallie, sarà nobilitata. sussurrò lui, mentre mostra il dito rosso. Proprio il gesto esquiscé lei violentemente morsetto.Ben merda. È quello di insegnare le buone maniere da italiani ... lui brontolaun po '. Poi, riprendendosi, sussurrò in un orecchio : "grazie per accompagnarmi, Mijke".